J'apprends mon métier de maman ! Je cherche, je trouve, des idées, des recettes, des astuces, pour nous simplifier la vie, par plaisir, pour résoudre un problème.
J'ai choisi de les partager avec vous !
Je vous conseil ces applications sur Itunes ou Google play :
Les Nombres Montessori - Apprendre les bonnes bases en maths
par L'Escapadou
1res Opérations Montessori (Itunes uniquement)
Par : Trois Elles Interactive
Todo Math
Par Locomotive Labs
Pour finir je vous conseil un livre utilisé par les enseignants (meilleure vente) :
J'apprends les maths avec Picbille CPBroché– 29 mai 2012
Edition Retz
" Plus de progressivité dans l'étude de premiers nombres pour une meilleure appropriation par les élèves des décompositions. Création d'un repère à 3 cases pour aider à concevoir le nombre 5, comme 2 + 1 + 2 ou 3 + 2, et renforcer ces décompositions. Introduction, dès le début de l'année, de la boîte de 10 pour favoriser la représentation de la dizaine. Meilleure exploitation des outils utilisés au service du calcul (image des doigts, boîte de Picbille, file numérique...). Part plus importante accordée aux activités de géométrie et de mesure, qui s'en trouvent diversifiées (situer des objets les uns par rapport aux autres, triangles, rectangles et autres figures planes, les solides, lire l'heure...). Une actualisation de la maquette et des dessins, conforme aux attentes des élèves d'aujourd'hui."
On donne à l'enfant tous les atouts pour faciliter le calcul mental.
On achète les boites et les jetons à manipuler en plus du livre.
On progresse par étape, en toute logique !
On s'insrit gratuitement sur le site de l'éditeur pour avoir accès à pleins de contenus gratuits !
Inspirée d'une méthode célèbre qui guide les enfants à mémoriser les sons par guide de couleurs (méthode syllabique), je partage avec vous mon tableau.
Je les ai affiché au dessus bureau de mon fils : cliquez sur le lien ci dessous pour afficher mon tableau en pdf.
Il peut être intéressant de taper les texte à lire pour les devoirs à l'ordinateur et de changer les couleurs des sons ou de les surligner avec des crayons ou feutres de couleurs.
Cette méthode convient autant à l'adulte qu'à lenfant pour organiser, visualier et mémoriser des informations.
Une carte heuristique (ou carte cognitive, carte mentale, carte des idées, etc. ou, dans les pays anglophones et usuellement, mind map), est un schéma, supposé refléter le fonctionnement de la pensée, qui permet de représenter visuellement et de suivre le cheminement associatif de la pensée.
Cela permet de mettre en lumière les liens qui existent entre un concept ou une idée, et les informations qui leur sont associées.
La structure même d'une Mind Map est en fait un diagramme qui représente l'organisation des liens sémentiques entre différentes idées ou des liens hierarchiques entre différents concepts.
À l'inverse du shéma conceptuel (ou « carte conceptuelle », concept map en anglais), les mind maps offrent une représentation arborescente de données imitant ainsi le cheminement et le développement de la pensée.
A partir de quel âge ?
Dès la maternelle ! Je vous laisse découvrir ce lien, pour comprendre son intérêt :
Eh oui, nos petites crapules ont parfois besoin d'un coup de pouce !
Mais attention à ne pas essayer de refaire à la maison, ce qui a été fait en classe !
Pourquoi et quand faire du soutien scolaire ?
Quand votre enfant se plaint d'avoir des difficultés dans certains domaines, ils faut l'encourager et le stimuler dans ce domaine sans que cela devienne pour lui une corvée !
Les devoirs (en primaire) ne doivent pas durée plus de 10 à 15 min. On peut faire un exercice, un jeux le soir après les devoirs, si elles n'ont durées que 5 à 10 min par exemple. Et si votre enfant n'est pas trop fatigué.
Par exemple mon fils à rendez-vous le mardi soir au rugby de 17h à 19h, il rentre épuisé, je lui fait juste les devoirs du lendemain.
Il faut partitionner les devoirs quand on a le temps, surtout si votre enfant à des difficultés à se concentrer.
Par exemple, on fait la lecture après le goûter, puis un jeux, puis l'écriture. C'est très important de laisser leurs petites tête au repos après un effort de concentration. Surtout après une journée d'école.
Le weekend c'est pareil, on peut diviser les devoirs sur le samedi et le dimanche.
Comment ?
Il faut que l'aspect du jeux ou de l'exercice soit ludique et qu'ils plaisent. L'associé à un momnet de jeux, juste après, va aider l'enfant à y prendre plaisir.
Exemples :
Dictée de mot : l'enfant recopie un modèle écrit dans un cahier de lecture, au crayon à papier, et doit lire à voie haute les sons qu'il écrit.
Puis, s'ils ont du mal à écrire le mot sans modèle on lui demande d'épeler les sons oralement.
- " pour le mot dimanche, tu entends quoi ?
- "di-man-che"
- "bien ! Donc comment on fait le son "di" dans dimanche ?
ect ....
Attention aux pièges et au lettres muettes !
Lecture : livre de lecture phonétique simple. Je vous conseille "J'apprends à lire avec Sam et Julie" Eition Hachette. Après c'est à vous de trouver celui qui vous semble plaire à votre enfant;
La méthode globale ne convient qu'à une catégorie d'enfant. Donc voyez avec quelle méthode votre enfant est le plus alaise.
On fait une page par jour, si possible. Ces livres sont bien construit, les étapes de la phonologie sont bien respectées, il y a même une catégorie à la fin, pour éviter les confusions".
Il ne faut jamais forcer votre enfant ! Il ne faut pas que ce soit une corvée !
Préférez la carotte plutôt que le bâton !
"Aller ! On fait la page et après on joue ensemble" Et on le fait ! Sinon, on est des menteurs !
Les jeux : il existe des jeux pour apprendre la lecture comme sylladingo , il en existe d'autre dans le même genre.
Troubles cognitifs spécifiques, troubles du langage et des apprentissages, comme la dyslexie, la dysorthographie, la dysphasie, la dyspraxie et la dyscalculie sont cummunemment appelé les "dys".
On regroupe sous “troubles Dys” les troubles cognitifs spécifiques et les troubles des apprentissages qu’ils induisent.
Les troubles cognitifs spécifiques apparaissent au cours du développement de l’enfant, avant ou lors des premiers apprentissages, et persistent à l’âge adulte. Ils ont des répercussions sur la vie scolaire, professionnelle et sociale, et peuvent provoquer un déséquilibre psycho-affectif. Leur repérage, leur dépistage et leur diagnostic sont déterminants.
Certains de ces troubles affectent les apprentissages précoces : langage, geste… D’autres affectent plus spécifiquement les apprentissages scolaires comme le langage écrit, le calcul. Ils sont le plus souvent appelés troubles spécifiques des apprentissages.
Ces troubles sont innés, mais certains enfants victimes d’un traumatisme crânien ou opérés et soignés pour une tumeur cérébrale peuvent également présenter des troubles cognitifs spécifiques gênant la poursuite de leurs apprentissages.
On regroupe ces troubles en 6 catégories : • Les troubles spécifiques de l’acquisition du langage écrit, communément appelés dyslexie et dysorthographie. • Les troubles spécifiques du développement du langage oral, communément appelés dysphasie. • Les troubles spécifiques du développement moteur et/ou des fonctions visuo-spatiales, communément appelé dyspraxie. • Les troubles spécifiques du développement des processus attentionnels et/ou des fonctions exécutives, communément appelés troubles d’attention avec ou sans hyperactivité (voir article ici). • Les troubles spécifiques du développement des processus mnésiques. • Les troubles spécifiques des activités numériques, communément appelés dyscalculie.
Combien sont les DYS? Les chiffres varient normalement selon les études, selon les pays et selon les époques. Selon la nature des troubles que l’on inclut dans l’étude, selon le degré de sévérité pris en compte, les chiffre varient de 1 à 10%. En France on parle de 6 à 8% de troubles dys. On peut dire que 4 à 5 % des élèves d’une classe d’âge sont dyslexiques, 3% sont dyspraxiques, et 2% sont dysphasiques. Aucune étude fiable n’a donné un chiffre des troubles DYS en France.
Ce n'est pas parce que votre enfant présente des similitudes dans les descriptions de ces troubles qu'il est Dys.
Cependant, si vous avez des doutes sur le développement de votre enfant, vous pouvez demander à faire un bilan auprès d'une orthophoniste ou d'un neuropédiatre.
Un conseil : avant de faire un bilan orthophnique, faites un bilan ORL à votre enfant. Même si votre enfant ne présente aucun symptôme de déficience auditive, la plupart des orthophonistes le demandent. Pourquoi ? Parce que les enfants ont capacité d'adaptation insoupçonnable, qu'il y ait des problèmes auditifs ou visuels et que seul un examen minutieux d'un spécialiste peut définir s'il y a raison de s'inquiéter ou pas.
Si votre enfant présente par exemple, un retard important dans la compréhension, l'expression orale, la prononciation, le graphisme, etc.
Ne vous affolez pas ! Il faut vous dire que chaque enfant évolue à son rythme et qu'ils peuvent parfois se "bloquer" sur une période sur une acquisition, comme lors d'une croissance importante, une autre acquisition en cours d'apprentissage qui requière toute son attention, d'un moment difficile dans sa vie.
Si les problèmes persistent, que les enseignants s'inquiètent aussi, vous pouvez consulter un spécialiste.
En premier lieu, il faut procéder par élimination pour définir s'il y a un souci ou pas, et, si oui, lequel.
Rendez-vous Orthophoniste (L'orthophoniste prévient, repère et traite les troubles de la voix, de la parole et du langage chez les enfants et les adultes. L'une de ses compétences principales : concevoir et mettre en œuvre des programmes de rééducation.).
Rendez-vous Orthoptiste ( l’orthoptiste est un spécialiste du dépistage des troubles et de la rééducation visuelle (strabisme, défaut de convergence, amblyopie etc..). Il est amené à dépister dans un premier temps une déficience visuelle (myopie, astigmatie, etc). Le bilan sera éventuellement complété par un ophtalmologue (médecin spécialiste des yeux).
Rendez-vous chez un pédo-psychiatre éventuellement, si votre enfant présente des troubles du comportement ou qu'il montre des signes de mal-être.
Vous pouvez vous diriger soit vers des spécialistes en libérale proches de votre domicile, soit vers un CMPP.
Il faut savoir que certains spécialistes ne sont pas remboursés par la CPAM et que beaucoup ne font pas le tiers-payant quand c'est le cas. Il faudra donc avancer les frais.
Vous pouvez aussi vous diriger vers un CMPP (centre médico psycho-pédagogique), ces derniers regroupent une équipe de spécialistes (pédo-psy., orthophoniste, ergothérapeute, ...) et les soins sont entièrement gratuits. La difficulté, ce sont les délais d'attente (6 mois à un an au minimum en moyenne), donc mieux vaut vous y prendre le plus tôt possible.
Ces centres permettent un échange constant entre l'enfant, les parents, les spécialistes (qui travaillent en équipe), ils peuvent vous accompagner dans vos démarches (demande de prises en charges MDPH : reconnaissance handicap) et faire le lien avec l'école de votre enfant, pour mettre en place un suivit personnalisés, par exemple.
Le principe alphabétique réinventé sous une forme concrète et ludique adaptée à l’imaginaire des enfants
Au lieu de confronter les enfants au monde abstrait et arbitraire des lettres, on va leur raconter une histoire captivante, dont les héros, les Alphas, ont des caractéristiques étonnantes : ils ont à la fois la forme des lettres et une raison d’émettre leur son. De plus, le nom de chaque alpha commence par la lettre qu’il représente.
Par exemple, monsieur O est un personnage tout rond qui adore faire des bulles bien rondes en poussant des oooh ! admiratifs. Ou encore, le «f» est une fusée dont le bruit du moteur fait «fff» !
C’est ainsi que lorsque l’enfant entendra «fooo !» parce que la fusée est tombée sur la tête de monsieur O, il comprendra que la parole est formée de «sons» distincts représentés par des formes graphiques déterminées, à savoir, dans le cas présent, que le «son» / f / est représenté par la fusée et le «son» / o / par monsieur O.
Ainsi, tout en s’amusant, en nouant des relations affectives fortes avec ces personnages sympathiques d’un autre monde, les enfants vont rapidement et spontanément avoir le «déclic-lecture».
En outre, « Les Alphas » est une méthode de lecture complète, progressive et structurée. Trois niveaux d’apprentissage conduisent les enfants à leur rythme vers une lecture habile et autonome, toujours avec le même plaisir et la même motivation.
Nous avons tous parfois de la difficulté à nous concentrer, à demeurer immobile ou à contrôler nos impulsions. Cependant, les personnes atteintes d’un trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) sont quotidiennement confrontées à de telles difficultés.
Le TDAH peut miner l'estime de soi ainsi que la capacité de fonctionner en milieu familial, social, professionnel et scolaire. On peut cependant se réjouir du fait que grâce à de meilleurs traitements et à des efforts au niveau de l'éducation, de plus en plus de personnes parviennent à atténuer leurs symptômes de TDAH.
Le TDAH, c’est quoi?
Le TDAH est un trouble neurologique. Les personnes qui en sont atteintes éprouvent de la difficulté à contrôler leur comportement et/ou à maintenir leur concentration. Généralement diagnostiqué à l'étape de l'enfance, ce trouble continue très souvent à se manifester à l'âge adulte.
Les symptômes du TDAH
Les principaux symptômes du TDAH tiennent aux difficultés de concentration, à l'hyperactivité (activité excessive) et à l'impulsivité (agir avant de réfléchir aux conséquences). Le comportement en question doit présenter un caractère excessif, se manifester avant l'âge de sept ans et perturber considérablement au moins deux aspects de la vie de la personne touchée (la vie à la maison et à l'école, par exemple).
Les trois principales catégories de symptômes sont les suivantes :
Inattention : difficulté à se concentrer ou à demeurer concentré sur une tâche ou une activité
Hyperactivité-impulsivité : activité et impulsivité excessives
Combiné : combinaison des problèmes de concentration et d'activité/impulsivité excessives
Qui est atteint du TDAH?
De 3 % à 5 % des enfants présentent un TDAH
Les garçons ont trois fois plus de risque d'être atteints que les filles
Le TDAH touche les personnes de tous les âges (y compris les adultes)
Généralement, seul le temps permet de différencier un enfant rêveur et très actif d'un enfant souffrant d'un désordre médical. Les enfants touchés par un trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) démontrent des comportements semblables à ceux manifestés par les enfants normaux.
Par contre, chez l'enfant atteint de TDA sans hyperactivité, ces comportements sont exagérés et débilitants. Inattentifs et parfois trop impulsifs, ces enfants souffrent d'un désordre neurobiologique. Ils ont souvent une mémoire à court terme déficiente, ils démontrent des difficultés à accomplir des tâches et ils manifestent des comportements importuns.
Des problèmes de sommeil sont aussi fréquents. Les enfants rêveurs tombent dans cette catégorie. La difficulté qu'ils éprouvent à se concentrer peut avoir des conséquences désastreuses sur leur rendement scolaire. Puisque ces enfants ne sont généralement pas perturbateurs, ils passent souvent inaperçus et ne sont pas correctement diagnostiqués. Assis bien souvent aux dernières rangées de la salle de classe, ils passent le plus clair de leur temps à regarder par la fenêtre. Les professeurs qualifient souvent, et à tort, ces enfants de lents ou d'endormis.
Les enfants qui présentent un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) portent un double fardeau. Prisonniers du tourbillon d'activités qui les habite, ils ont du mal à atteindre des objectifs simples. Cette variante du trouble du déficit de l'attention peut perturber la vie sociale, scolaire et familiale. Le TDAH est deux à trois fois plus fréquent chez les garçons que chez les filles. Par contre, les filles atteintes peuvent l'être aussi sévèrement que les garçons. Les enfants atteints de TDAH sont source de grand stress pour les parents, la famille, les amis, les professeurs et les proches de l'enfant lui-même.
Les causes du TDAH
Le TDAH n'est la «faute» de personne. La recherche montre que le TDAH semble résulter d'une insuffisance de substances chimiques cérébrales spécifiques (neurotransmetteurs) qui aident le cerveau à organiser et à régir la pensée et le comportement.
Comme 30 % à 40 % des personnes auxquelles on a diagnostiqué un TDAH ont des membres de leur famille qui souffrent du même trouble, on pense que les gènes sont au moins partiellement impliqués dans le processus. Bien que les parents, les enseignants et les conjoints ne soient pas la cause du TDAH, ils peuvent avoir une très forte incidence sur la capacité de la personne touchée à faire face à son trouble.
Les conséquences du TDAH
Une piètre estime de soi est une cruelle conséquence des TDAH. Ces enfants, incapables de rester en place, d'attendre leur tour ou de se concentrer, se démarquent, bien malgré eux, des autres compagnons de leur groupe. De plus, beaucoup ont du mal à comprendre les conventions sociales et peuvent parfois paraître gauches ou bizarres. Ces enfants sont aussi plus à risque pour d'autres désordres psychologiques tels l'anxiété, la dépression et les troubles de comportements (comportements perturbateurs, agressivité et désobéissance).
À l'âge adulte, ils sont plus susceptibles que la moyenne de divorcer, d'avoir des problèmes professionnels et de se suicider. De 3 à 5 % des enfants sont atteints de TDAH ; approximativement 50 % d'entre eux devront, à l'âge adulte, relever des défis de taille.
Heureusement, les enfants atteints d’un TDAH, souvent très créatifs, peuvent devenir des adultes fort accomplis. Ils ont tendance, grâce à leur facilité à passer d'une idée à l'autre, à aborder les problèmes de manière unique. Il est important de comprendre que le potentiel intellectuel de ces enfants n'est pas différent ou inférieur à celui des autres enfants.
Des avocats, des médecins, des directeurs d'école et d'autres professionnels ont surmonté avec succès les obstacles représentés par leur trouble du déficit de l'attention. Plusieurs des problèmes liés au malaise social, à l'inattention chronique et à l'importunité répondent bien au counseling et à la thérapie de groupe. De plus, une vie familiale heureuse et un bon encadrement scolaire jouent un rôle significatif sur le passage à une vie adulte positive.
Les traitements du TDAH
Les traitements offerts sont adaptés aux besoins de chaque enfant après une évaluation biopsychosociale. Les traitements incluent des médicaments spécifiques, de la psychoéducation, de l'apprentissage des habiletés sociales, un encadrement scolaire spécialisé et de la psychothérapie individualisée.
Les parents peuvent aussi recevoir de l'aide pour améliorer leur compréhension du trouble du déficit de l'attention et pour améliorer leurs habilités parentales. Ces traitements sont offerts en groupe le samedi ou lors d’un camp d'été spécialisé.
Tous les enfants reçoivent aussi une évaluation de leur réponse au traitement médicamenteux, tant au niveau comportemental que des effets secondaires éventuels.
Que faire?
Faire un bilan auprès d'un neuropédiatre ou un psychomotricien si vous avez un doute pour votre enfant.